Rapport d'alignement

Voici le résultat de la comparaison entre deux fichiers par MEDITE.

Les fichiers sont C:\meditework\medite40\GLOBAL\Chedid\LaRobeNoire\manuscrit\chedidtapuscrit.txt et C:\meditework\medite40\GLOBAL\Chedid\LaRobeNoire\manuscrit\chedidcor.txt.

Les paramètres sont :

Taille des blocs pivots 5
Ratio remplacements 50
Seuil déplacements 50
Sensibilité à la casse Oui
Sensibilité aux séparateurs Oui
Sensibilité aux signes diacritiques Oui

L'alignement produit est le suivant:

Elle nous aimait
.
Nous nous sentions aimésNous nous sentions aimés
,
par
elle ;
quels que soient quels que soient
les moments nos existences et
nos âges ou
la distance. la distance.
Parfois
Elle nous aimait
avec avec
intelligence et sans
abnégation abnégation
, reculant
demeurant elle-même dépourvue de cette amertume qui s'infiltre parfois
dans dans
l'ombre pour nous laisser toute la place, gommant sa flamboyance
les âmes trop dévouées qui brûlent leur existence au feu des autres. Il lui arrivait pourtant de s'effacer pour un temps, de reculer, d'abandonner
pour
nous offrir
l'avant-scène l'avant-scène
. Une avant-scène
qu'elle occupait avec éclat et assurance qu'elle occupait avec éclat et assurance
tandis que j'évitais,
par
nature et par
goût
, de m'y avancer. C'était un
pour
céder place à quelqu'un de son choix. Elle jouait alors pour un temps, les seconds rôles, exaltait – exagérément parfois les qualités de celle ou de celui qu'elle décidait de placer sous les feux
de la
rampe. Un
week-end d'été week-end d'été
, sur une plage du nord
au Touquet
de la
France. Ni
, nous nous étions rejointes
sans
famille famille
,
ni gouvernante ni gouvernante
,
, nous nous étions rejointes
en
je ne sais plus je ne sais plus
en
quelle circonstance. J'avais 16 ans. Un jeune Anglais quelle circonstance. J'avais 16 ans. Un jeune Anglais
d'une trentaine d'années
aussi laid que Woody Allen, mais qui n'en possédaitaussi laid que Woody Allen, mais qui n'en possédait
, je crois,
ni le charme, ni la vivacité, me faisait une cour discrète. ni le charme, ni la vivacité, me faisait une cour discrète.
Dotée deMalingre
parents
d'un physique exceptionnel, j'avais le culte de
la beauté
et ce petit homme malingre
, à lunettes, , à lunettes,
au
avec son
visage de fouine visage de fouine
il
n'avait rien pour n'avait rien pour
m'attirer. Il habitait Londres, et paraissait prospère. me plaire. Beaucoup trop âgé à mon
goût
et
la beauté
de mes
parents
me rendait exigeante. Je cherchais à le fuir.
Ma mère Ma mère
pensaitdevait penser
sans doute
qu'un mariage qu'un mariage
lointainen pays étranger
résoudrait résoudrait
mes problèmes et les siens mes problèmes et les siens
, ceux
que poseraient bientôt mon retour en Egypte. que poseraient bientôt mon retour en Egypte.
Elle lui avait aussi
sans doute
découvert des qualités cachées.
- Tu lui plais beaucoup, me - Tu lui plais beaucoup, me
disaitdit
-elle. - Il ne me plaît pas du tout !-elle. - Il ne me plaît pas du tout !
Il
Mais du tout. Elle éclata de rire et il
n'en fut jamais plus question. n'en fut jamais plus question.